Juillet 2010
Les limiteS
Un nouvel
ordre mondial se met en place, avec un début de stratégie commune.
Consensuellement, un homme a été
désigné pour sa compétence à la tête du FMI et des pouvoirs lui ont été
attribués. Celui-ci a demandé plus de rigueur dans la gestion des Nations. Il
conviendrait que les Peuples lui fassent confiance, et au prix d’efforts
importants qu’il incombe à nos contemporains de réaliser, assainir les comptes
des Nations, tout en veillant cependant à maintenir un certain niveau économique : il va falloir rattraper
des années de gestions étatiques
laxistes (souvent lié à des promesses politiques d’ambitions irresponsables et
autres surenchères) et d’une déliquescence
morale en général, redonner une vision et un élan commun ainsi que, ce me semble
indispensable et lié, un sens spirituel à tout cela.
Ceux qui
cherchent, le plus souvent à des fins personnelles, partisanes mais globalement
stériles à s’opposer au courage des Gouvernements en place, à fortiori dans des
Démocraties, seront repérés comme étant des êtres assoiffées d’ambition,
guidant le Peuple tels des aveugles. Ils seront faciles à reconnaître, car ils
s’appuient sur les sentiments de frustration, d’inquiétude des populations qui
certes soufrent, mais ne proposent pas vraiment d’alternatives réelles et
potentiellement efficientes et durables. Ils se remarquent, de par le monde,
par leur agressivité verbale, traduisant davantage de la haine ou de la
jalousie (qu’ils ne sont pas suffisamment parvenus à surmonter) vis-à-vis d’un
pouvoir qui les fascine. En fait, ils sont peu respectueux en général, et de
l’ordre des choses en particulier, et, au
lieu de faire de mauvaise fortune bon cœur, ils (se) fuient en avant,
entraînant le peuple ou partie dans la contestation d’un temps révolu quasi
systématiquement, ne pensant qu’à se battre au travers des luttes diverses mais
agressives, et très souvent
préjudiciables au plus grand nombre, dans l’instant et à plus long
terme.
On les reconnaîtra par leur
vocabulaire, par leur éructations et leur insatiété de privilèges
(relatifs/plus grand nombre) : on n’a pas a appeler un chef d’Etat ou un haut
responsable politique par un sobriquet ou à pousser les populations le grimer
odieusement dans le sphère publique ; l’intention sous jacente dénote
une attitude haineuse, malveillante ou
malsaine (sauf exceptions de luttes, contre le non respect (répressif) des
droits de l’homme.
Exemples : - On n’a pas à
prononcer devant les médias en particulier des diminutifs comme Béré ou Sarko,
surtout quand on prétend représenter le Peuple ou partie ; mais mes
exemples sont mal choisis car franco-français (ce sont ceux que je connais le
mieux), alors que mes propos sont de portée plus générale. Le respect, ça
commence par la aussi. C’est une image de son soi intérieur que l’on dévoile
ainsi aux autres, pour peu qu’on sache voir un au-delà des apparences. Souvent
ce genre de personnes trichent aussi pour arriver à leurs fins, trompent ceux
qui les suivent, et ne le savent pas forcément, mais se trompent eux-mêmes. Par
manque d’introspection. Le respect conduit au respect, ce qui ne signifie pas
« langue de bois » pour autant, sur des attitudes précises. C’est
tellement plus facile de chercher des fautes chez les autres que chez soi. D’où
le sens profond du « connais-toi toi-même » des philosophes, plus
poussé encore, avec un vocable différent chez quelques mystiques.
Certains
avantages, acquis après de hautes luttes, que d’autres appèlent chantages,
voire prises d’otages de la population (ou partie) plus raisonnable et/ou plus résignée,
apparaissent dés lors disproportionnés vis-à-vis d’autres catégories ou
d’autres Nations, et si l’harmonie doit passer par une tendance à
l’harmonisation fiscale et sociale comme il me semble, il faudra accepter que
les plus socialement avancés fassent quelques raisonnables concessions, pendant
que d’autres peuples rejoindront péniblement ceux qui pourraient leur
apparaître comme de relatifs nantis
égoïstes, parfois caricaturés en un seul mot.
Ainsi, dans la mesure où un plan
de relance ou d’austérité est demandé par le directeur du FMI qui en a
compétence à toutes les Nations, attention à ceux qui exciteront les peuples, qui s’appuieront et exacerberont
leur désespoir, leurs frustrations et masqueront par la colère et la
disharmonie leur incapacité à apporter concours et assistance à leur Nation et
au delà. Car ceux qui cherchent à monter les hommes les uns contre les autres,
agissent souvent comme des hyènes à l’affût d’avantages partisans ou
corporatistes, susceptible de leur amener sympathie, notoriété, gloire ou pouvoir. Ce sont le plus souvent des
assoiffés impénitents qui non satisfaits de vouloir le beurre, veulent l’argent
du beurre, réclament le sourire de la crémière …et le reste ! Plus ils
sont hargneux, dogmatiques, vociférateurs et menaçants, moins ils sont
exemplaires.
Car ce qui
importe d’une façon générale, c’est d’apporter sa contribution dans nos
différentes sphères, en privilégiant prioritairement les sphères supérieures,
car ensuite en découlera l’harmonie des sphères inférieures. Dans le cas
contraire, il y a une sorte d’effet boomerang négatif sur les différentes
sphères le plus souvent :
Expl : le Nationalisme et
l’impérialisme peuvent accroître durant un temps l’aura et la richesse d’une
Nation, mais provoquer un rejet à l’international de qui en pâtit, et s’avérer
contre productif y compris économiquement à terme.
Expl : l’usage corporatiste
déraisonnable et/ou excessif de la grève permet d’obtenir des avantages pour
ses membres en un temps donné, mais nuire à la société ou à la Nation sur plus long
terme ; ça a été le cas des dockers aux gros bras, où les acquis ont été
relativement trop importants, ce qui a conduit, concurrence internationale
obligeant, à la perte de clientèle, à la perte de confiance, à la fermeture de sites pour certaines Nations, et
à privilégier pour les clients des zones où les gens aiment ou s’obligent
raisonnablement à leur travail. Bilan : Quelques temps après, pour
quelques relatifs nantis, la profession est sinistrée durablement, mais la souffrance engendrée par ces pertes
d’emplois…ne sera peut-être pas perdue pour tout le monde…
L’appel à la grève de
la rentrée dans notre Nation, comme dans la plupart des autres, me parait
globalement injustifiée et contreproductive.
Je suis là aussi pour
trancher, expliquer et défendre la vision juste que je porte. Je le fais ici,
et continuerai à le faire dans la mesure du possible.