11/09/11
(suite)
En tant
qu’observacteurs privilégiés, il faut que vous sachieZ
(*Pour l’autre…« Il faut que vous
sachiez aussi»*)
Je
ne sais pas comment vous sous y êtes pris, je ne pense pas que ce soit
volontaire, mais alors que je vous avais adressé une solution de repêchage
honorable, vous seriez-vous concertés pour désigner votre camarade d’ambition
politique et/ ou de mécréance afin de nous* donner une réponse énigmatique à ma
suggestion, juste au milieu de la période préconisée ? En tout cas, c’est
très fort ! Mais du coup, de l’éclat, vous n’en avez reçu qu’une énorme et
sordide boussure qui n’en finit pas de rebondir, de vous entacher, voire de
vous enténébrer selon le degré d’appartenance et/ou de complicité direct et
indirect des sphères dans lesquelles vous êtes liés. Bravo!
+ Mardi 23 août 2011, N-Y
(New-York, U.S.A.), alors qu’un
procureur commençait son allocution concernant l’arrêt de la plainte au
pénal d’un puissant hypocrites en
matière politique qui se croyait tout permis avec les petites gens, mais bien
défendu par une armée d’avocats à son service par l’argent dont il apparaît
qu’il soit gavé quand il se souvient d’une fidélité (celle de sa femme !),
au début de son allocution, disais-je, un violent tremblement de terre fit
détaler de l’immeuble les participants, dans une ville, la ville où se situe la
rue du mur, qui n’avait pas été ainsi secouée depuis quelques 80 ans !
Avouez que….quand même !
Sachez qu’un
Plan avait été confié à cet homme ; des avertissements donnés ; il
était tout de même chargé de faire le plein de kérosène et de co-piloter
l’Humanité au vu de ses potentielles connaissances en économie, et telles
auraient dû être, ses uniques obsessions. Qu’avait-il à avoir des fourmis
d’auto-débauchage dans les jambes, que ce soit pour la quête d’un statut
immunitaire ou pour soulever le premier jupon qui passe. On en a appris de
belles ! Et encore, on ne nous dit pas tout !
« Sache bien que la prostituée comme la femme
d’autrui sont aussi dangereuses qu’un caveau profond ou qu’un puits étroit sans
fond. » Proverbes, 23. 27. Pas seulement parce qu’elles peuvent témoigner de leur vivant des expériences subies…
la vérité est ! Elle est éternelle. Voilà aussi pourquoi
l’Amour-Vérité est plus fort que tout !
« Qui vole un œuf, vole un bœuf, dit-on»
« Qui trahit une confiance peut en trahir
d’autres »
C’est une
question de niveau de conscience intrinsèque.
Un homme (ou
une femme, c’est pareil) marié(e), ayant contracté un engagement basé sur la confiance à l’intérieur du couple et
vis-à-vis de la société, doit se tenir.
Plus hautes sont ses responsabilités, son image, sa représentativité, ses
engagements, son exemplarité, plus il doit se tenir ! (Même si c’est
certainement plus difficile quand on est plus sollicité et tenté…). Là est la
première faute dont découlent les autres. Acte consenti ou pas, c’est une
différence de manœuvre d’Asmodée (ou de Belzébuth) dans l’ignominie, s’appuyant tantôt sur la séduction, tantôt sur
la contrainte physique ou psychique, et dont le but est le plus souvent de
satisfaire une jouissance bestiale
(d’une durée) coïtale, ou parfois de se prouver une capacité factice de séduction. Corrélativement,
le plus souvent, une souillure et une souffrance ressenties et/ou enfouies
s’ancrent chez la faible victime (et/ou des espoirs illusoires), obérant des potentialités de plus grand
épanouissement et ses conséquences collatérales qui auraient pu être atteintes
sans ces incidents de parcours de la v(o)ie normale souhaitable, à cause d’un
individu qui, à un moment donné, a permis à sa sagesse de succomber sous
les coups de son hybris ; ainsi le Très Haut « en » soi a été
délaissé pour un leurre éphémère. Quand bien même il y aurait-il eu un peu
d’amour ? Une telle relation parallèle partant sur des bases malsaines est
souvent vouée à l’échec, n’est pas souhaitable car il est dangereux de badiner
avec l’amour, et si elle devient toutefois pérenne, en parallèle, une
souffrance de l’être trahi et autres plus proches relations laisse souvent des
traces, ne serait-ce qu’au travers du schéma produit. Le renoncement dans le cadre d’une juste sobriété (sans aucun doute souvent frustratif sur le moment)
devient dés lors le plus souvent vertu et félicité.
Rq :
Le Christ nous met en garde de ne pas porter de jugements lapidaires vis-à-vis
d’un frère tombé dans de semblables péchés. Par contre, aidés par l’analyse des
fautes, les candidats à l’accoutumance aux fautes de parcours de vie, (de
nombreuses accoutumances peuvent induire
un abaissement de conscience) doivent se douter que le Très Haut sera d’autant
moins indulgent avec eux, ce qui appelle à la vigilance permanente de tout un chacun. Certes, on peut parfois
s’égarer, en évitant de trop se perdre,
pour pouvoir mieux Se retrouver. Saint-Paul appelait ça trébucher. Mais
il faut se redresser de son mieux au plus vite, et ne pas persévérer dans
l’aliénation semi-consciente (dépendance de la facilité, de nos faiblesses,
tentations, préjugés, addictions…), davantage excusables pour des esprits
juvéniles probablement, car l’immaturité devient davantage coupable au fil de
l’âge et des engagements dans nos différentes sphères.
Certes, la
justice des hommes ne peut être qu’imparfaite. Mais ne pas donner suite au
jugement d’un acte donné sous prétexte que la victime n’est pas une sainte ou
un saint, et la prise en compte des actes potentiellement répréhensibles qui
sont indépendants de l’acte récriminé mais débusqués quand ils ne sont pas
fabriqués par le pouvoir de l’argent, ne semble pas plaire au Très Haut. Que
les actes répréhensibles soient jugés d’un côté s’il y a lieu, que l’acte donné
le soit de l’autre. L’amalgame et la globalité appartiennent davantage à un jugement
global qui ne nous appartient pas, à m h a. Ceci me rappelle « la
peste » de Monsieur de la Fontaine.
Celui-ci et Esope, pour autant qu’ils aient bien saisi les
mœurs (souvent bassement instinctifs des hommes), n’avaient que rarement
intégré dans leurs fables la dimension divine, qui en l’occurrence, établirait
le benêt en Roi, et destituerait les princes du pouvoir et de
l’arrogance, qui font de quelques de leurs droits trop souvent des privilèges.
On dit bien qu’il n’y a pas de
fumées sans feu. Ici-bas, il nous est épargné grande partie de ces flammes, de
ces incendies dans lesquels, plus que probablement, n’en finissent pas de
« rôtir » leurs (h)auteurs pour leurs actes et paroles insensés, à la
gauche du Père.
Rq :
Si d’autres préfèrent continuer à jouer aux jolis cœurs, aux proches du peuple,
alors que leur réalité décryptée tend à prouver qu’ils se servent des petites
gens, de leurs filles ou fils comme faire valoir ou comme mouchoirs jetables…
ils auront ainsi une notion réactualisée de ce à quoi ils devront s’en tenir.
Autre exemple :
prétendre à des valeurs, serrer les mains des différentes communautés
religieuses en vue d’un scrutin d’un côté, mais dire de l’autre qu’il ne faut
pas attendre un sauveur, qu’il n’y a ou n’y aura pas de signes, pour dénigrer la Foi en Dieu… c’est ne pas se
rendre compte qu’on insulte les Saintes Ecritures qui, comme je l’ai pourtant
expliqué, nous disent bien qu’il est prévu une Résurrection, que les signes
existent. C’est donc faire insulte aux Prophètes de différentes religions,
c’est donc blasphémer ! C’est donc une hypocrisie employée par quelques
mécréants pour faire passer leurs vessies (pseudo-valeurs issues d’une
culture limitative trop souvent déstructurante et inculturante) d’un camp, d’un
parti ou d’un individu, au détriment de la lanterne destinée à l’Humanité et
ses communautés plurielles ; c’est
donc insulter par derrière les électeurs dont on demande le suffrage sans
vergogne par devant ; pour moi Croyant, c’est pire que de me traiter de
« sale croyant » ou de « sale … » ; pour moi
Chevalier Servant qui avertit par la vérité en l’Esprit (ne pas confondre avec
du prosélytisme) mais respecte les incroyants, c’est subir un degré de
plus dans l’humiliation ). Masques ainsi retirés, ceux qui attaquent ainsi le
Père et la Vérité
et ceux qui par affinité se retrouvent
dans ces attaques, font montre (même s’ils ne l’on pas assez analysé
ainsi) d’une crade intolérance doublée de fourberie, tendant peut-être par des
attaques basses la vacuité de leurs propositions, mais peut-être pas . Leur
aversion envers la Foi
les aveugle-t-elle pas démesurément ? Même si de tels hommes peuvent par
ailleurs apporter à la collectivité, quand le fond est mauvais, il est
dangereux pour la société de construire dessus…. A moins peut-être qu’ils ne se
ravisent en sincérité et compensent leurs erreurs offensantes. Comprennent-il
des phrases simples comme « Pour trouver une place parmi les sages, il te
suffit d’écouter les critiques ; elles sont souvent salutaires. »
Proverbes 15, 31 ou suffit-il qu’ils sachent que des conseils avisés se
trouvent dans les Saintes Ecritures notamment pour que ces enragés fassent
l’inverse ?
Quelques rappels entre autres :
« Nous envoyons
des apôtres à des intervalles fixés » (au premier rang desquels, les
Prophètes.) Sourate XLIV
« Il a établi
pour vous une religion qu’il commanda à Noé (Symbole de l’Arche comme pour
rassembler tous les hommes de bonne volonté ici bas pour le voyage dans
l’au-delà); c’est celle qui t’est révélée, ô Muhammad ! C’est celle que
nous avons recommandé à Abraham, à Moïse, à Jésus, en leur disant :
Observez cette religion (Religion) (sous-entendu, méditez-la et vivez-la), ne
vous divisez pas en sectes (c’est ce qui est demandé dans la mesure du possible
aux hommes de Foi, c'est-à-dire de rester unis ou, de nos jours de se
rassembler). Elle est pénible aux idolâtres. (En effet, il est plus aisé, plus
confortable d’idolâtrer quelque chose ou quelqu’un que de se remettre en cause,
sauf s’il est parfois à considérer et à adhérer à un objet du culte qui soit le
symbole même de la transcendance divine au service des valeurs divines et donc
de Dieu. Ce peut-être le cas des saints, des saintes écritures, des lieux
saints, d’attitudes cultuelles, des prophètes, mais davantage conceptuellement
que par identification physique, du moins dans la mesure du possible...)
« Sourate XLII, 11.
Je vous invite à
relire aussi des vérités immuables contenues dans la Sourate 27, surtout à
partir du verset 73.
« Le plus beau sentiment du monde, c’est le sens
du mystère. Celui qui n’a jamais connu cette émotion, ses yeux sont
fermés ». Albert Einstein
La Révélation de mon existence (même si restant dans
l’anonymat, car je suis l’Imam, le Pasteur, le Rabbin, l’Interprète caché, au
service d’Un seul et même Dieu, d’un seul et même Peuple, conformément à une
autre prophétie mineure) à travers mes
écrits qui sont là pour éclairer la
Volonté du Tout Puissant, constitue un Témoignage Vivant important de Sa Promesse
et de Sa Réalité, sorte de Démonstration contributrice de Sa Toute
Puissance, et d’Invitation à nos
petitesses de s’élever « en » Lui, dans une dimension plus que logique (mythique) liée à la Reconnaissance Universelle de Son Existence et à la Gratitude
qui Lui est due.
N. B. : Ceux qui n’auront
pas su m’adouber ni en tant qu’économiste, ni en tant que Croyant, et
participer ainsi à la
Révélation constructivement, qui logiquement pour la partie
économique et politique, qui pour la partie Religieuse, vont cependant devoir
témoigner, comme prévenus, et sans doute par la même occasion, vont devoir se
justifier. Mieux vaudrait pour eux que cela se fasse de leur vivant pour une
foi(s), révélant dés lors par la même occasion leur secrets d’état (d’âmes),
pouvant aller de la reconnaissance de leur atermoiement, voire de leur trahison
pour certains pour non adhésion à l’Espérance Populaire, si tel est les cas.
C’est tragique, mais tous ont été
avertis, ré-avertis, et ont persévéré
dans le Déni, dans l’Omerta et le camouflage. Ils témoigneront de leurs
manquements devant l’Humanité, et même si c’est terrible, vous comprendrez
qu’une adhésion même tardive sera préférable (n’est-ce pas là leur dernier
espoir avant que de risquer l’anéantissement ?), atténuant probablement
leur sort dans l’après, car le Très Haut est le Grand
Miséricordieux !
Cordialement.
Toute une vie prêtée pour apprendre à
aimer…puis s’envoler…
Le VRAI
P.S. :
Insister davantage auprès de quelques
interlocuteurs serait risquer qu’ils ne fassent démesurément insulte à leur
sympathie, à leur courtoisie, à leur intelligence, ou à défaut, à leur cœur et
à leur foi. Mais devant notre* soif d’idéal, il faut voir comme on nous*
parle !
P.S. :
Que l’on m’eut répondu : « Monsieur, je ne partage pas vos propos,
mais je ferai tout mon possible pour que vous puissiez les exprimer », en
plus d’être élégant, eut été un gage d’ouverture d’esprit et d’intelligence. Le
faire n’en n’est que mieux… (Même si on partage l’essentiel des dits propos
(H)).
« Pour trouver
une place parmi les sages, il te suffit d’écouter les critiques ; elles
sont souvent salutaires. » Proverbes 15, 31 …/…