03/09/2009
Madame (ou Monsieur selon), et à l’attention des caciques du
parti,
Un constat,
c’est que nous devenons les produits d’un monde sans foi ni lois (Libéralisme
excessif, zones de non droit), si ce n’est la loi dite de la jungle, celle du
plus fort (la levée de certains monopoles ou règlementations poussés par des
lois supranationales ont bien aidé certains groupes dans leur avancée
hégémonique), du plus odieux, mais aussi du court-termisme, du moindre coût, du
réflexe intrinsèquement destructeur mais si pavlovien du moindre effort et donc
celle de l’égoïsme Roi, en fait.
Posez-vous la question : Souhaitez-vous
rester dans cette jungle ou
évoluer ?
Allons-nous mettre en pratique
notre sagesse enfouie sous les facilités de nos habitudes, de notre paresse, de
notre lâcheté, de nos dogmes, de notre fatuité de vouloir avoir raison
isolément, etc…?
Sachez que
quelque soient vos fautes commises, il est plus que probable que vous soyez
dignes du meilleur pour peu que vous le veuillez, et que possibilité vous est
présentée de le faire ensemble (en plus d’autres voies individuelles,…)! Comprenez-vous
mieux aujourd’hui, que si vous voulez la paix entre les peuples, il faudrait
commencer au mieux à faire soi-même la paix dans sa Nation et en soi,
d’échanger des points de vue, des arguments par la dialectique notamment, pour
s’ouvrir à d’autres points de vue, quitte à ne pas les apprécier ou les
rejeter, au lieu de fustiger préalablement un point de vue qui peut paraître
négatif à première vue, mais qui peut quand même l’être cependant. Une des
clefs du bonheur n’est-elle pas de voir la complémentarité en de nombreuses
choses avant (ou au lieu) d’y voir ce qui oppose, de savoir se satisfaire du
nécessaire (même si à l’aire post-moderne où nous entrons, il peut largement
mais sagement être agrémenté), sans pour autant être un accroc à un opium par
trop caricatural.
Pourquoi vouloir
opposer la raison à la foi ?
Je sais qu’il
y a qu’il y a des athées parmi vous, et tiens
à vous préciser que j’apprécie la laïcité d’esprit ouvert, mais qu’il
s’agirait de ne pas la confondre avec le refus du sacré et concourir à la
dissuasion envers certains du dépassements de soi (comme le chantait un ange
d’ici bas disparu : « d’être soi mais en plus grand ») ; le
prosélytisme n’est pas appréciable (dogmatique ou religieux), le libre arbitre et l’accès aux valeurs sont laissés
aux citoyens pour autant que l’on bénéficie de différents points de vue
(complémentaires plus qu’antagonistes) et qu’aidé par la vie, tout un chacun
puisse faire son choix éclairé pour peu qu’ils s’en donne la peine, aujourd’hui
plus qu’hier, tant au niveau individuel que collectif.
« A l’aube ou quand vient le
soir
Et que la
terre flamboie
Le rouge et le noir
Ne s’épousent-ils pas ?
(Alors) Ne vous perdez pas, ne vous perdez pas, ne vous
perdez pas ! »
Ce n’est
peut-être pas fortuit que ce soit le pays des Droits de l’Homme qui ait vu grandir celui qui initiera peut-être
les Devoirs de l’Homme (à ce sujet
là, il importe peu de savoir qu’elle est ma nationalité, …). Car comme pour
quasiment tout système, il n’y a pas de
yin sans yang, et l’équilibre vient de la bonne harmonie des deux.
Quoiqu’il en
soit, ce n’est pas de la potion magique à proprement parler que j’ai sous mes
ailes, mais une foi pouvant faire bien plus à partager à toute Nation et tout
être de bonne volonté, fut-il athée.
Mon parcours résulte d’une éducation laïco-religieuse reçue de mes
parents et autres éducateurs, par l’intégration socioculturelle et l’adhésion aux valeurs (et non pas par le
sang, comme certains ont du mal à le comprendre) que cette Nation généreuse défend (d’où sa
volonté d’un Etat providence fort, qui, il est vrai, et certains le lui
reprochent d’ailleurs, a conséquemment un faible pour les impôts et taxations diverses. …/…
* * *
Puisque l’on récolte
ce que l’on s’aimE
Vous avez noté ? Cet été a
été baptisé l’été des papillons, et de mémoire d’hommes on en a rarement vu
autant. Je ne sais pas vous, mais moi j’en ai vu par dizaines…
Il y a des tremblements de terre
aussi, et d’autres signes…
Maintenant, il
faut arrêter de vous dire : C’est incroyable, c’est pas possible, etc…Repoussons
certaines bornes de l’entendement et partagez ma foi (je ne vous oblige à
croire au Très Haut, rassurez-vous, tout le monde a son libre arbitre, tant pis
pour les incroyants, c’est dommage pour eux, c’est tout !), partagez au
moins ma foi dans un monde meilleur que je m’évertue à construire, par mes
contributions, avec vous. Parce que
si vous croyez en rien, avouez-vous le carrément et cessez de suite de vous
mentir et de mentir au peuple : Tirez-en les conclusions qui
s’imposent : Arrêtez la politique !
Si des
politiques d’une Nation sont bonnes à mettre en œuvre, il relèverait du courage et/ou de l’honnêteté
intellectuelle de les mettre pédagogiquement en œuvre, tant pour les pro que
pour les anti-gouvernementaux, même si les raisons et les intérêts partisans
les séparent. D’un côté le courage de faire avec écoute et discernement, de
l’autre le courage de laisser faire et/ou d’accompagner, avec un probe
discernement et une participation constructive. Autrefois, les Hommes croyaient
qu’il fallait faire des sacrifices humains ; en fait, l’offrande
sacrificielle vient d’en nous ou partie de nous, de notre lutte face à
certaines de nos avidités, de nos passions, de nos penchants…tout en ne se
reniant pas ; n’est-ce pas là une des subtilités passionnantes de la
vie ?
Pour ma part,
je viens d’accomplir une bonne partie de ma mission, mais je reste, à ma façon, disponible ; chercher sous
les feuilles signifie « me solliciter sur une problématique donnée ».
Comprenez que je n’ai pas réponse à tout et n’ai pas à en avoir forcément.
Cependant, si le Ciel veut, j’y répondrai, et vous saurez trouver dans une
réponse peut-être « décalée » une source d’inspiration utile, comme
ne pas. Dorénavant, pour me solliciter, vous passerez par les médias et je
vais vous faire une confidence : Je n’ai que deux yeux, deux jambes, deux
mains et 24 H dans mes journées ; alors, faites en sorte, si une question vous
tient à cœur, que j’y sois attentif ; je resterai éveillé pour vous (dans
le sens de l’intérêt général et plus).
J’ai écrit
simultanément une Lettre au Pape et une autre aux Chefs d’Etat; s’ils le
souhaitent, ils vous en feront part. Je sais qu’il est un point qui vous tient
tous à cœur que je ne leur ai donc pas soumis, pensant que vous préfèreriez le
faire vous-mêmes : Celui nommé en France : L’I.S.F.
En effet, si
l’argent peut être vu comme le sang irriguant l’économie, la stase et/ou
l’hémorragie ne me semblent guère souhaitables.
L’hémorragie, ce sont les
gestions dispendieuses ou inefficaces.
La stase, c’est l’accumulation
disproportionnée (une épargne raisonnable est acceptable, et il n’est pas
question ici de tout vouloir réglementer…quoique, parfois on se demande :
H) des richesses (même pour celles qui ont été honorablement gagnées).
Dans ce cadre là, ceux qui
défendraient le principe de l’impôt sur
la fortune n’auraient peut-être pas tout à fait tort dans un soucis de
redistribution de fortune global, de
principe.
La logique de ceux qui
craindraient que cet impôt ne fassent fuir des plus riches (comme constaté)
vers des terres moins moralistes, et par
là même prônant le principe d’un bouclier fiscal, n’auraient peut-être pas tout
à fait tort non plus dans un soucis de non déperdition de fortune relatif, (national).
…Je m’étonne encore, tant pour les uns que pour les autres, qui par
ailleurs s’égosillent à vouloir
instaurer une plus juste union sociale et fiscale avec nos
« compatriotes » européens, que ni les uns, ni les autres n’essaient
de promulguer un Impôt sur la Fortune
Européen ( mêmes conditions d’assiette et de taux à travers
l’Europe, voire les pays membres du G20 (I.F.International), où l’on pourra
utiliser pour cela une nouvelle unité économique (ou qui existait peut-être
déjà , auquel cas veuillez me pardonner mon ignorance sur ce sujet), l’U.M.R./(réf X) qui est une unité
d’adaptabilité internationale qui me parait nécessaire pour aborder des
problèmes mondiaux d’une économie globalisée et que je présente ce jour aux
Chefs d’Etat.
Tout cela vous
donnera peut-être l’occasion de donner
des perspectives réenchantées (mais réalistes) au(x) peuple(s), d’une même
voix ; si certains souhaitent une évolution internationale, c’est le moment
où jamais d’affirmer la lutte (finale) contre
l’adversité, même si cette lutte est pacifique et qu’elle se fait quelque part aussi contre le moins bon de nous
même, encore faut-il l’analyser, le reconnaître et y remédier, sinon, on est
moins à même de guider autrui en conscience, en probité, même si personne, sauf exception(s), n’est infaillible
en ce bas monde.
…La révélation d’un de mes écrits qui a vocation à l’être, vous en
fournira bientôt l’occasion. Je l’espère…
Cela demande
du courage, mais après…
AUTRE IDEE NOUVELLE A MURIR
J’aurais pu l’exposer moi-même
aux chefs d’état, mais vous le ferez mieux que moi, si vous la jugez pertinente :
Question : Quel phénomène
observe-t-on dans la logique comptable industrielle ?
C’est qu’il vaut mieux faire
sous-traiter à d’autres sociétés ou filiales pour gagner en
« souplesse » et pour mieux faire pression sur les prix, et donc pour
augmenter les marges. Il y a cependant de nombreux cas où le métier est
différent et où la sous-traitance est utile, voire souhaitable. De sorte que de
grosses structures ou des plus malins décrochent des contrats ou des appels
d’offre alors qu’ils savent ne pas pouvoir s’en acquitter seuls, mais savent
par ailleurs trouver des « partenaires » et faire porter la pression
sur les plus petits à l’affût, surtout dans la même spécificité d’activité.
Pour pallier à cela, que
pensez-vous d’une sorte de T.V.A
inter-entreprise, qui se cumulerait de sociétés en sociétés jusqu’au produit
fini (ou jusqu’au service rendu), pour favoriser les structures plus petites,
le plus souvent de culture paternalistes à dimension humaine, que d’autres…
différentes. Ce serait une sorte d’anti-économie d’échelle (qui est, rappelons-le,
l’apanage des plus gros), dans le but de mieux permettre aux petits d’accéder
aux marchés, l’inconvénient étant d’ajouter peut-être une contrainte financière
superfétatoire, voire contre-productive.
Expl : Une société de
bâtiment A obtient un appel d’offre sur un chantier.
Lorsqu’elle
sous-traitera une partie (ou totalité de chantier) à B, elle devra verser à l’Etat x % (2 à 4%)
au nom de la
T.VA. I.E. sur le
facturation H.T. de B.
Et
ainsi de suite…
* * *
Comprenez que
parmi les éléments moraux, individuels et collectifs, philosophiques,
économiques, psychologiques, métaphysiques se trouve peut-être une partie de ce
que les religions nomment l’eschatologie. Si les religions désirent savoir ce
que je vous ai confié, il conviendrait que ce soit la Présidence qui orchestre ces échanges avec un
consentement, dans la mesure où elle peut bénéficier d’une trame commune, et
que tout ce qu’il y a de personnel et de réveil pourra en être gommé, et mes
coordonnées anonymisées (effacées).
Maintenant, ça
va être bientôt à vous de jouer et de « mouiller la chemise » !
(Vous ne pourrez pas dire que je ne vous avais pas prévenus : H), même si
c’est inconfortable au début ; mais une fois l’épreuve franchie, le peuple
vous pardonnera, d’autant mieux qu’il saura qu’il peut dorénavant et peut-être
différemment d’avant, compter sur vous pour le guider à bon escient. Vous aurez
des supporters, je serai aux rangs de ceux-là. Attendez tout de même que l’étendard brillant soit levé par ceux qui
ont la charge de le hisser. Il vous
faudra foncer, (ce n’est pas un malentendu et ça marchera) ensemble et de
préférence unis. Si vous ne le faites pas pour mon Père, faites le au moins
pour le peuple et pour l’Humanité, ça revient un peu au même.
Alors envolez-moi, envolez-nous, loin
de cette fatalité qui nous colle à la peau…
Pour
les recommandations d’usage, on fait comme la dernière fois.
Le
courage soit avec vous.
Fraternellement
P-A
P.S : Certains trouveront le
style un peu « bizarre », demandez-leur : Avez-vous déjà eu la
chance de regarder voler un
papillon ? Vous trouvez leur
vol linéaire, vous ?
Règles confidentielles du jeU
(même si les grandes
lignes pourront être explicitées au peuple)
PREAMBULE : Il ne me semble
pas que l’on puisse difficilement lutter contre un monde sans foi ni loi (ni règles), que ce soit en bas (dans les cités par
exemple), au milieu ou en haut (dans la finance par exemple) sans montrer
l’exemple. Alors, comme à Pékin Express, la règle du jeu évolue, s’affine au
gré du jeu, pour l’équilibrer. Voici donc la règle revisitée et actualisée :
Par rapport
aux écrits, je vous autorise à aborder tous les sujets relevant de votre sphère
de compétence (pas la métaphysique pure ; pas ce que vous estimez être
trop confidentiel ou relatif au « réveil plus ou moins tendre» de vos
consciences (ce dont je vous demande d’ailleurs de me pardonner) et pas les
parties dont votre sagesse pense
qu’elles puissent être mal interprétées : Exemple : tout le monde
n’est pas forcément ouvert à mon humour comme vous, ou pas de suite); vous
pourrez citer des parties de mes écrits
avec parcimonie (livrez les idées que vous souhaitez reprendre, mais les
éléments écrits avec parcimonie…).
Pour éviter toute surenchère, il
conviendrait que vous vous concertiez sur ce que pouvez en dire, « dans
l’esprit », de façon équitable et si possible tolérante. Que ceux à qui il revient de présenter la version
politico- économique des fruits (eschatologie) mûrs et témoigner de mon
« épopée citoyenne » le fassent dans un esprit constructif, sinon
mieux vaudrait pour eux (comme ne pas) qu’ils se taisent individuellement.
Vous devrez donc être 5 (sur 8) à être d’accord sur les extraits
choisis par chacun de vous (parmi les au moins cinq qui s’entendront), et que
la répartition entre vous soit équivalente en longueur.
-
Sur les au moins 5 partis, étant donné la
bipolarisation des mouvements actuels, définissons pour ce « jeu » sérieux, qu’il y
ait 3 bleus, deux blancs (même si orange et vert), et trois rouges. Il faut
qu’il y ait au moins un membre de l’équipe bleu, un membre de l’équipe blanche
et un membre de l’équipe rouge qui donnent leur accord pour que tel parti
puisse citer telle phrase.
-
Evitez tant que possible de vous servir de mes écrits pour porter atteinte à quelqu’un, quel
qu’il soit, y compris celui-là même qui
a choisi de citer un passage donné.
Rq : Le Président, de par
son statut, pourra citer quelques phrases parmi les courriers envoyés aux
partis (dont il a dû avoir accès, me semble-t-il) ou aux ministères s’il le
souhaite, mais pas plus que chacun d’entre vous sauf s’il y a obstruction non
constructive des anti-gouvernementaux, ce que je ne pense pas, mais sait-on
jamais, il y a parfois des enjeux qui échappent tellement à la base, qu’il est
permis de tout imaginer, n’est-ce pas ?
Si j’ai oublié
de vous confier une règle ou un avis, voyez dans quel esprit j’Essaie d’opérer
et faites au mieux, éclairés par votre sagesse. Soyez bons. Mes vœux vous
accompagnent.
P.S :
Gardez les originaux en lieu sûr, et veillez bien à ce qu’aucun indice (adresse
électronique,…) n’apparaisse sur vos
photocopies ou notes.
Essayer d’ériger le « No
Comment » au mieux. Merci pour tout.
Commentaires actualisés à l’attention du peuple : Courrier adressé communément à 8
responsables de partis politiques français. Toujours autant de réponses explicites.
Contexte historique : Peu après, des livres d’Astérix ont
sympathiquement été offerts aux filles du Président Obama par le Président de la République Française
lors d’un déplacement à la maison blanche.